Dans un arrêt rendu le 2 novembre 2009, le Conseil d'Etat précise sa jurisprudence relative aux demandeurs d'asile. En l'espèce, une ressortissante érythréenne qui s'était présentée à la préfecture pour solliciter son admission au séjour afin de déposer une demande d'asile, avait fait en sorte que ses empreintes digitales ne puissent être exploitées. Afin de permettre la reconstitution de ses empreintes, plusieurs convocations successives lui avaient été (...)
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