Un juge californien a refusé de valider le projet d'accord amiable par lequel le service américain Uber espérait mettre fin à des recours en nom collectif intentés par certains de ses chauffeurs et éviter d'avoir à leur reconnaître le statut de salariés.
Le 18 août 2016, un tribunal californien a refusé de valider l'accord amiable par lequel le service américain Uber comptait mettre fin à des actions de groupe intentés par certains de ses chauffeurs, qui contestaient leur statut de travailleurs indépendant et réclamaient d'être reconnus en tant que salariés. Ce statut leur permettrait en effet d'être éligibles au remboursement de leurs frais, notamment l’essence et l’entretien du véhicule. Uber s'était (...)
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