Qui n'a pas été témoin de l'échec d'un projet informatique ? On peut longtemps disserter sur le sens d'échec. Est-ce qu'une augmentation de 15% du prix projeté constitue un échec ? Quid d'un retard de deux mois sur un projet qui en compte six ?
Il n'y a pas de réponse standard. Là n'est cependant pas le propos de ce billet. Plus intéressante est la question de savoir si tous les échecs doivent être logés à la même enseigne et s'il faut se limiter dans nos contrats informatiques à ne gérer, en dehors des pénalités de retard, que les situations extrêmes pouvant ou devant conduire à la résolution du contrat. Une réflexion sur l'échelle des échecs Certaines circonstances peuvent (...)
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