Sont reconnus, comme étant non diffamatoires, les propos tenus par une journaliste, sur un réseau social, à l’encontre de l’ancien directeur d’Equidia, en ce qu'ils reposaient sur une base factuelle suffisante et étaient mesurés.
L’ancien patron d’Equidia a été mis en cause par une journaliste indépendante qui a publié, le 13 octobre 2017, sur Twitter, le message suivant : "Tu as de gros seins. Tu es mon type de femme. Je vais te faire jouir toute (...)Cet article est réservé aux abonnés