Quand bien même il contiendrait des erreurs, le récit fait par la victime présumée de son agression sexuelle, sept ans après les faits, ne peut être considéré comme diffamatoire dès lors qu'il repose sur une base factuelle suffisante, et ce dans le contexte du mouvement #MeToo encourageant la prise de parole des femmes.
Dans deux articles publiés sur internet les 18 et 19 octobre 2017, une jeune femme a relaté les faits d'agression sexuelle dont elle (...)Cet article est réservé aux abonnés