Des articles des presse de nature sensationnelle et qui ne contribuent pas au débat d'intérêt général sur les abus sexuels commis par des membres du clergé catholique ne relèvent pas de la liberté d'expression journalistique.
Dans un arrêt M. L. c/ Slovaquie (requête n° 34159/17), la Cour européenne des droits de l’Homme se prononce sur le droit à la réputation d'un mort, dans le cadre d’articles de presse "sensationnalistes" consacrés aux actes (...)Cet article est réservé aux abonnés