La Cour européenne a été saisie dans le but de statuer sur la proportionnalité d'une condamnation pénale par la justice française d'un homme politique qui a laissé, sur sa page publique Facebook, exposés des commentaires appelant à la haine et à la violence raciale ou ethnique d'un groupe de personnes. La Cour a conclu à la non-violation de la liberté d'expression.
Le requérant, alors maire d'une commune française et candidat aux élections (...)Cet article est réservé aux abonnés