Si le licenciement d'un salarié survient pour une cause qui n'est pas réelle et sérieuse et si l'une ou l'autre des parties refuse la réintégration, le juge octroie au salarié une indemnité à la charge de l'employeur, dont le montant est compris entre des montants minimaux et maximaux exprimés en mois de salaire brut.
A la suite d’un arrêt maladie, un salarié a été déclaré inapte à son poste de travail à l'issue d'un examen réalisé par le médecin (...)Cet article est réservé aux abonnés