La sanction de révocation, émise à l'encontre d'un agent s'étant rendu coupable de faits de voyeurisme sur ses heures de service, est disproportionnée.
Un agent public occupait les fonctions de responsable des nouvelles technologies de l'information et de la communication au sein des services d'une mairie. Il a été condamné par un tribunal correctionnel à une peine de quatre mois d'emprisonnement avec sursis pour des faits de voyeurisme. Le conseil de (...)Cet article est réservé aux abonnés