Une vendeuse est licenciée pour avoir eu des relations sexuelles sur les matelas proposés à la vente et avoir permis la diffusion de photographies de ces ébats, accompagnées des références des modèles essayés pour la circonstance, sur un site destiné à recueillir les avis des clients. Le caractère insolite de ces faits a inspiré au juge, dans la formulation de la motivation de son arrêt, des termes manifestement incompatibles avec l'exigence (...)
Cet article est réservé aux abonnés