A l'occasion de la destruction des listes papier utilisées lors des "primaires socialistes", la CNIL n'a pas relevé de manquement majeur à la loi "informatique et libertés", et a jugé que, dans l'ensemble, ses préconisations avaient été suivies et que les engagements pris par le PS avaient été mis en œuvre.
La Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) avait examiné, le 5 mai 2011, si les principes de protection des données personnelles étaient bien respectés par le Parti socialiste lors de la préparation, de l'organisation, puis du déroulement des élections primaires qui lui ont permis de désigner son candidat à l'élection présidentielle de 2012. À l'issue de cet examen, elle avait considéré que le transfert des listes d'émargement (...)
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