La CEDH décide que constitue une violation de la liberté d’expression le fait de licencier une employée du service public en raison de ses mentions "j’aime" sur des contenus relatifs à des questions d’intérêt général publiés sur Facebook.
Mme M. était une ressortissante turque employée, depuis 1996, comme agente de nettoyage contractuelle au sein du ministère de l’éducation nationale turc. Celle-ci a ajouté des mentions "j’aime" sur (...)Cet article est réservé aux abonnés