La décision de justice ordonnant la publication d’un correctif à un article de presse insinuant l’implication d’une responsable politique dans la disparition des avoirs du parti au pouvoir dans l'ancienne Allemagne de l'Est n’a pas porté atteinte à la liberté d’expression de la maison d’édition Axel Springer.
Un article publié dans l'édition du 4 octobre 2013 du quotidien allemand Die Welt, intitulé "La femme de la Stasi aux côtés de Gregor (...)Cet article est réservé aux abonnés