La Cour de cassation invalide la condamnation de l'auteur de deux affiches assimilant le président de la République à Adolf Hitler et Philippe Pétain : ces photomontages satiriques qui s'inscrivaient dans le débat d'intérêt général au sujet du passe vaccinal contre le Covid-19 n'ont pas dépassé les limites admissibles de la liberté d'expression.
Le président de la République Emmanuel Macron a porté plainte du chef d'injure publique en raison (...)Cet article est réservé aux abonnés