CEDH : assimiler un projet urbain à un pénis relève de la liberté d'expression

CEDH : assimiler un projet urbain à un pénis relève de la liberté d'expression

Un seul slogan obscène ne constitue pas une raison suffisante pour condamner des personnes manifestant pacifiquement contre un projet d’urbanisme.

Lors d'une manifestation dans la capitale géorgienne contre un projet d’urbanisme appelé Panorama Tbilissi, qui visait à construire quatre nouvelles zones urbaines sur la colline de Sololaki surplombant la vieille ville, des manifestants ont brandi une banderole assimilant le projet à un pénis humain, avec le (...)
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