La Cour de cassation invalide la relaxe pour provocation à la haine du directeur d'un site internet ayant diffusé le clip d'un groupe de rap : les juges du fond, qui avaient considéré que ce clip ne visait pas la communauté juive dans son ensemble, auraient dû rechercher le sens véritable du clip qui comportait de nombreuses références antisémites.
A la suite de la publication sur internet d'un clip musical du groupe "Rude Goy Bit", six (...)Cet article est réservé aux abonnés