Dans un arrêt du 26 mars 2019, la Cour européenne des droits de l'Homme rappelle que maintenir le prévenu dans une cage en métal dans la salle d’audience pendant le procès et en détention provisoire constitue en soi - compte tenu de sa nature objectivement dégradante, incompatible avec les normes de comportement civilisé qui caractérisent une société démocratique - un affront à la dignité humaine et équivaut à un traitement dégradant en violation de (...)
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