L'état de santé d'un élu, s'il concerne la vie privée de l'intéressé, est aussi une question relevant d'un débat d'intérêt général pour ceux dont il est le représentant.
Une maire, dont l'état de santé mentale s'est détérioré, a porté plainte et s'est constituée partie civile du chef du chef de "diffamation publique envers un particulier" contre un directeur de publication. Ce dernier a été déclaré coupable par le tribunal correctionnel. Par un arrêt du 15 février 2018, la cour d'appel de Lyon a confirmé ce jugement.Elle a relevé que l'article a été construit perfidement de manière à évoquer, sous couvert de (...)
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