Encourt la censure l'arrêt d'appel qui déclare coupable du délit de provocation à la haine l'auteur d'un tweet qualifiant un homme d'"islamiste" : cette qualification visait l'intéressé non pas à raison de son appartenance à la religion musulmane, mais du fait allégué de son adhésion et de sa participation supposées à l'islamisme radical.
Un ancien membre du groupe Génération identitaire a été poursuivi pour avoir posté sur son compte Twitter un (...)Cet article est réservé aux abonnés