La saisie d'une correspondance postale étant assimilable à une perquisition, l'expéditeur d'un courrier contenant des stupéfiants peut contester la régularité de l'ouverture de ce courrier par la police, mais encore faut-il qu'il établisse que cet acte lui a causé un grief distinct de celui qui résulte de la seule saisie des produits stupéfiants.
Des policiers ont été avisés d'une suspicion de découverte de produits stupéfiants dans un bureau de poste. (...)Cet article est réservé aux abonnés