Le tribunal judiciaire de Paris déclare que le laboratoire a manqué à son obligation de vigilance et à son obligation d’information concernant le médicament Dépakine, produit défectueux.
Des femmes ont suivi un traitement antiépileptique à base de valproate de sodium (principe actif commercialisé sous le nom de Dépakine) durant leurs grossesses, menées entre 1981 et 2008, à la suite de quoi leurs enfants sont nés avec des malformations. Une (...)Cet article est réservé aux abonnés