Une gynécologue commet une faute en ne s’informant pas des résultats du test sanguin qu’elle a prescrit à sa patiente pour déceler un risque de trisomie 21, malgré des aléas de communication de ces résultats entre plusieurs laboratoires.
Une gynécologue a prescrit un test sanguin à l’une de ses patientes, destiné à déceler un risque de trisomie 21.La patiente a fait réaliser ce prélèvement au sein d’un laboratoire qui l’a transmis à celui d’un centre hospitalier, qui l’a lui-même adressé à un troisième, situé à Paris. Les résultats du test ont mis en évidence un risque accru de donner naissance à un enfant atteint de trisomie 21 mais n’ont été transmis ni au médecin du (...)
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