Le médecin traitant et le cardiologue d'une jeune patiente, décédée d'une thrombose, sont jugés responsables pour n'avoir pas interrompu la prescription de la contraception ayant mené au décès malgré la présence d’un effet secondaire grave connu.
Les proches d'une étudiante de 20 ans, décédée d'une thrombose veineuse superficielle, reprochaient au généraliste et au cardiologue qui avaient suivi la jeune femme d'avoir commis des fautes. Dans un (...)Cet article est réservé aux abonnés