Droit de propriété et mur pignon.
Un syndicat des copropriétaires se plaint du lierre qui, planté chez le voisin, recouvre le mur pignon de la copropriété. De fait, les crampons du lierre s'infiltrent dans les joints du mur, causant des désordres à l'intérieur des maçonneries, et le feuillage persistant génère une humidité latente.Dans un arrêt du 6 mai 2010, la cour d'appel de Versailles rejette la demande d'arrachage du lierre sur la totalité du mur, mais en ordonne l'élagage pour la (...)
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