L'action en nullité de la séparation de biens judiciaire est ouverte à l'époux qui a sollicité la mesure, dès lors que le dépassement des délais ne lui est pas exclusivement imputable

L'action en nullité de la séparation de biens judiciaire est ouverte à l'époux qui a sollicité la mesure, dès lors que le dépassement des délais ne lui est pas exclusivement imputable

Un jugement a prononcé, à la requête de la femme, la séparation de biens entre les époux, mariés sans contrat préalable. Il n'a pas été procédé à l'ouverture des opérations de liquidation dans les trois mois du jugement passé en force de chose jugée et aucun acte liquidatif des intérêts des époux n'a été régularisé dans le délai d'un an sans qu'il ait été demandé de proroger ce délai. L’époux a assigné son épouse en divorce, qui a été (...)
Cet article est réservé aux abonnés
Vous êtes abonné ?
Identifiez-vous
Vous souhaitez vous abonner ?
Découvrez nos formules