La Cnil sanctionne une société de traducteurs pour avoir mis en place un dispositif de vidéosurveillance qui plaçait ses salariés sous surveillance constante et pour absence de traçabilité des accès à la messagerie professionnelle partagée.
Entre 2013 et 2017, la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) a reçu des plaintes de plusieurs salariés d'une TPE spécialisée dans la traduction, qui étaient filmés à leur poste de travail. Après un rappel à la société des règles à respecter lors de l’installation de caméras sur le lieu de travail, un contrôle a été mené dans les locaux, qui a permis de constater que :- la caméra présente dans le bureau des six traducteurs (...)
Cet article est réservé aux abonnés