Un employeur, qui entend licencier un salarié pour faute grave, n'est pas tenu de prononcer une mise à pied conservatoire.
Par un avenant, le contrat de travail d'une salariée a été transférée à une société. Après avoir été convoquée à un entretien préalable à un éventuel licenciement, elle a été licenciée pour faute grave et a, par la suite, saisi la juridiction prud'homale afin de contester cette rupture. La cour d'appel de Paris, dans un (...)Cet article est réservé aux abonnés