La Cour de cassation permet aux victimes du Distilbène de poursuivre les laboratoires sans preuve des prescriptions

La Cour de cassation permet aux victimes du Distilbène de poursuivre les laboratoires sans preuve des prescriptions

La Cour de cassation vient de permettre aux victimes du Distilbène (DES) de poursuivre les laboratoires qui le commercialisaient sans apporter la preuve des prescriptions de l'époque. Ce médicament était prescrit à des femmes enceintes afin de prévenir les fausses couches et les risques de prématurité. Il a été interdit en 1977 car jugé responsable de malformations gynécologiques, de stérilité et de cancer chez les filles des femmes traitées. Ces filles (...)
Cet article est réservé aux abonnés
Vous êtes abonné ?
Identifiez-vous
Vous souhaitez vous abonner ?
Découvrez nos formules